 Développer des négatifs Noir et Blanc en spire | Cette étape se déroule dans le noir total ! En effet, le film est sensible toute autre lumière que celle reçue lors de la prise de vue et qui est celle qui "construit" l'image en négatif. Le but, pour sortir ses négatifs, est d'extraire le film de sa bobine, de l'enrouler sur une spire et de l'enfermer ainsi dans une boîte étanche, et où l'on versera divers produits successifs :
- 1) le révélateur, que l'on laisse agir un certain temps, tout en l'agitant doucement et régulièrement ;
- 2) après avoir vidé le révélateur, on verse le bain d'arrêt, et que, de la même manière, on agitera ;
- 3) enfin le fixateur qui dissous les sels d'argent non exposés;
- 4) en dernier l'agent mouillant qui évite les traces d'eau (calcaire) quand le film sèche;
- 5) on prendra soin de rincer les négatifs, sortis de la boîte, à l'eau courante, afin de retirer toutes dernières traces de chimie.
Bien sûr, des règles très strictes de dosages et de temps sont à respecter selon le type de film utilisé et la sensibilité (ISO) à laquelle on l'a exposé. On fait ensuite sécher ses films dans une pièce close, à l'abri de la poussière. Enfin, on coupera les négatifs (le plus souvent par bande de 6) et on les rangera dans des pochettes cristal, avec la date et le sujet de la prise de vues. |
 Développer ses fichiers RAW | Résumé de la table des matières :
Comprendre le format RAW Transformer le fichier brut en image couleur Pourquoi travailler en format RAW ? Des implications sur votre manière de travailler Pérennité des formats bruts Bien choisir son logiciel de conversion Les critères de choix
Les logiciels à utiliser La prise de vue en format RAW La sensibilité ISO L'exposition La balance des blancs Soignez vos couleurs ! Les espaces couleur Les espaces de travail Étalonner votre système Corriger la tonalité et les couleurs Ajuster la balance des blancs Optimiser luminosité et contraste Afficher vos couleurs Corriger localement Plaisirs monochromes Le noir et blanc dans Camera Raw et Lightroom Le noir et blanc avec Capture One La transformation noir et blanc avec Photoshop
Recadrer, interpoler, accentuer et corriger les défauts d'image
Gestion des images Scripts et commandes d'automatisation Développer plusieurs fichiers à la fois L'automatisation
" Développer ses fichiers RAW " - 3 ° édition !
Volker Gilbert - 365 pages - Editions Eyrolles © 2009. L'auteur et les éditions Eyrolles m'ont demandé d'en écrire la préface. Je leur en suis très reconnaissant. Ce livre dresse un inventaire des logiciels de dématricage des fichiers RAW qui font références aujourd'hui. Complet et indispensable pour celui qui hésite encore. Je note au passage que le première livre du genre sort en français ! |
|  L'agrandisseur |  | L'agrandisseur est constitué d'une tête lumineuse coulissant sur une colonne ce qui permet de régler la taille de l'image. Le corps de l'agrandisseur est composé:
* d'une boite à lumière diffuse ou à condensateur contenant une lampe dont la lumière va traverser le négatif. * D'un passe-vue destiné à recevoir le négatif. * d'un système de réglage de la distance négatif-objectif pour la mise au point. * d'un objectif différent selon le format du négatif (6x6, 24x36, 13x18...) * d'un filtre rouge inactinique escamotable * un plateau en bois, servant de support pour le papier photo à exposer. |
 L'imprimante jet encre | Le jet d'encre a été développé par des informaticiens dans les années 1970, afin de proposer une autre sortie aux ordinateurs que la très bruyante imprimante matricielle (aussi appelée imprimante à aiguilles). Il existe deux types de jet d'encre. Historiquement, c'est le « jet d'encre continu » puis la « goutte à la demande » qui ont été inventés. Le jet d'encre a alors connu son essor en même temps que le développement de l'informatique grand public. Actuellement, le jet d'encre connaît une très forte montée, notamment grâce à la photographie numérique, la personnalisation des imprimés et la possibilité d'imprimer sur presque tous les supports.
Le procédé piézo-électrique est le plus développé et a été mis au point par Epson. Le réservoir d'encre est en contact avec un cristal piézo-électrique qui va convertir les impulsions électriques — la paroi se déforme suite à une excitation électrique — en force mécanique — la surpression due au cristal provoque l'éjection d'une goutte. C'est la surpression induite qui permet l'expulsion de la gouttelette.
Le procédé thermique ou bubble jet fonctionne sur le même principe. En chauffant localement l'encre à environ 350°C, on provoque une vaporisation locale de celle-ci et donc une surpression (un gaz prend près de 24 fois plus de place qu'un solide, selon les conditions). Comme précédemment, une goutte est éjectée pour répondre à ce déséquilibre. Cependant, ce type d'éjection pose certains problèmes, notamment à causes des contraintes thermiques que doit subir l'encre.
Source Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Jet_d'encre |
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