Calendrier des expositions photo à Marseille et dans la région CAPA ... ! 

HORS SERIE : Collectif de photographe marseillais

Cliquez pour agrandir l'imageExposition visible du 24 juin au 01 juillet 2011

Collectif de photographe marseillais crée en septembre 2008
Passionnés de photographies et de laboratoire de tirages argentiques en noir et blanc les auteurs  puisent chacun leur écriture dans le quotidien et l'ordinaire de la ville de Marseille.

Pour leur deuxième exposition à la Poissonnerie , les auteurs nous proposent leurs séries de portraits photographiques de rues. Des portraits saisis dans la ville, lors de leurs déambulations,  au hasard des rencontres.
Touristes, travailleurs, séniors, jeune couple… inconnus de passage ou marseillais depuis toujours, une grande diversité de personnages se prêtent au jeu, se confient,  se dévoilent un instant devant l'objectif du photographe.
Avec justesse et empreints d'une grande sensibilité, les auteurs nous font part de ces rencontres, de ces instants partagés et nous livrent un portrait attachant de ces hommes qui font la ville.
Photographies de :

Georges Héraud, Jon Porter, Naciera Yezza, Siham Rakik et Xavier Vanlaere

Exposition à la galerie d'art La  Poissonnerie
Vernissage le vendredi 24 juin 2011 à 19 h00

La Poissonnerie 360, rue d'endoume 13007 Marseille

04 91 52 96 07  lundi / vendredi de 16h à 19h ou sur rdv au 06 13 14 68 35 

http://lapoissonnerie.free.fr
http://www.facebook.com/lapoissonnerie

BRASSAÏ EN AMÉRIQUE, 1957.

Cliquez pour agrandir l'imageDu 17 juin au 30 octobre 2011 au Pavillon Populaire de la Ville de Montpellier
« En 1957, invité par le magazine Holiday qui lui passe une commande photographique et lui donne, pour cela,
carte blanche, Brassaï, pour la première fois, visite l'Amérique. Il n'existe pas plus grande disparité entre son
territoire parisien, sur lequel il exerce depuis les années 30 son oeil de photographe, et la civilisation urbaine
américaine à laquelle New York le confronte. Cette différence de culture, de mode de vie, excitent Brassaï. Le
voici lâché dans la ville américaine, suivant ses instinct de photographe de rue, conscient des contrastes auxquelles
son habituel sens du pittoresque européen le confronte, acceptant cette mise à l'épreuve, au fond bien
excitante. Mais Brassaï a le génie de l'adaptation. Il prend vite la mesure de cette formidable culture, toute pleine
d'énergie et de surprises visuelles. Retrouvant son appêtit pour la prise d'image, il utilise indifférement le noir et
blanc, et pour la première fois, la couleur et le petit format. Et soudain, le New York de Brassaï se met au diapason
de son humour surréaliste, de sa sensualité, de son attrait pour l'imprévisible ou l'élégante beauté des nuits ou
des jours de la plus grande méropole américaine, au moment où les années 50 rendent les femmes plus belles,
les adolescents plus libres, les couleurs plus acidulées.

Tous les jours sauf le lundi de 11h à 13h et de 14h à 19h - Entrée libre
Pavillon Populaire de la Ville de Montpellier
Esplanade Charles De Gaulle - 34 000 Montpellier

Tél. : 04 67 66 13 46, + d'info sur www.montpellier.fr

Festival ImageSingulières à Sète

Cliquez pour agrandir l'image Du 2 -19 juin 2011

Le festival ImageSingulières grandit. Mais la satisfaction de sa “réussite” et la richesse de cette aventure ne justifient en rien son existence propre.
Seuls son contenu, son engagement, ses indignations importent au final et seront, par là même, les garants de sa longévité.

En 2011, l'Espagne “poussera un peu sa corne” du côté de Sète.
Juan Manuel Castro Prieto sera l'auteur du quatrième (déjà) opus de la collection ImageSingulières. Il a promené, en couleur, sa chambre 20x25 du quartier haut à la pointe courte, à la recherche “du temps passé”. À la mémoire de Sète.
Ricky Dàvila quant à lui proposera sa série “Ibérica”, une somme d'images alternant portraits et paysages, où l'intention documentaire et la dimension artistique s'entremêlent tout comme la réalité et la fiction sans que l'on ne comprenne toujours où sont les frontières ! De plus une soirée de projection, la seconde, sera confiée à Christian Caujolle pour un panorama de la photographie espagnole.
Letizia Battaglia, passionaria infatigable, viendra témoigner du combat de sa vie : dénoncer les crimes de la mafia. Nous en profiterons pour développer dans un nouveau lieu-concept, une large thématique qui nous mènera en Russie au Japon ou encore au Salvador sur les traces de la pieuvre.
Si les célébrations nous laissent parfois de marbre, il eut été dommage de ne pas fêter les 20 ans du collectif Tendance Floue pour un “Mad in Sète” prometteur. L'ensemble du collectif (14 photographes) investira la ville quelques jours en amont de notre rendez-vous. Leur travail sera montré en temps réel à l'ancien collège Victor Hugo et fera l'objet d'une édition.
2011 sera une année importante pour toute l'équipe de CéTàVOIR qui porte ImageSingulières. L'ouverture d'une Maison de l'Image Documentaire, la MID, qui va installer durablement la photographie à Sète, est une étape tout à fait primordiale dans son développement.

Gilles FAVIER
Directeur artistique d'ImageSingulières

Plus d'info sur www.imagesingulieres.com

Photo:© Ricky Dávila / Fundación Antonio Pérez

BRASSAÏ EN AMÉRIQUE, 1957 à Montpellier 

Greenwich Village, New York 1957©Brassaï /Estate BrassaïDu 17 juin - 30 octobre 2011

Brassaï ? Chacun s'empresse d'associer à cet immense photographe d'origine hongroise, devenu si parisien, les vues nocturnes d'un Paris interlope, qu'il portraiture dans les années 1930. Ami des surréalistes, proche de Picasso, dessinateur, sculpteur, écrivain, inventeur éruptif multiforme, Brassaï symbolise l'esprit même d'une photographie sans égale dont il est en France, en compagnie d'André Kertéz et d'Henri Cartier-Bresson, le plus illustre des représentants.
C'est donc un véritable événement que de pouvoir découvrir pour la première fois, plus de 30 ans après sa disparition, une partie de son oeuvre photographique jusqu'ici ignorée, réalisée en 1957 en Amérique, et en grande partie en couleurs, lui qui, jusque là, était uniquement connu pour sa pratique en noir et blanc.

Pavillon populaire, galerie d'art photographique
Esplanade Charles De Gaulle
Montpellier


Photo:Greenwich Village, New York 1957©Brassaï /Estate Brassaï

Archives des expositions photo 2009/2010

Annoncer vos expositions photo en Provence Cote d'azur

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Aires de jeu, champs de tensions : figures de la photographie urbaine en Europe depuis 1970


                                        Exposition du 25 février au 24 avril 2011 au Pavillon populaire.
                                                          Vernissage le jeudi 24 février 2011 à 18h

                                                                Commissariat : Monika Faber



Photographies : Bogdan Dziworski, Seiichi Furuya, Jitka Hanzlová , Chris Killip, Boris Mikhailov, David Rosenfeld, Michael Schmidt, Wolfgang Tillmans, Octavian Trautmansdorff, Sergej Vutuc
Vidéos : David Claerbout, Muntean-Rosenblum, Helmut Kandl, Emil Rütiman

Enregistrer les sensations corporelles au travail dans nos espaces urbains : voici le lien unissant les 14 artistes photographes ou vidéastes présentés dans l'exposition collective, dont la commissaire invitée par Gilles Mora, dans la cadre d'une programmation centrée pour 2011 autour de la photographie urbaine, est Monika Faber, conservatrice pour la photographie au musée de l'Albertina, à Vienne (Autriche) et qui sera présentée au Pavillon Populaire de Montpellier, du 25 février au 24 avril 2011

Les passantes de François Deladerrière à Aix en Provence

Les passantes de François Deladerrière à Aix en Provence

Géraldine Lay à l'Atelier De Visu Marseille

Géraldine Lay à l'Atelier De Visu Marseille

« autour de Dansem 2010 » de Laurent Lafolie à la Poissonnerie

Cliquez pour agrandir l'imageDu 6 au 25 novembre 2010

Né en 1963 en France, Laurent Lafolie travaille la photographie depuis 1980. Les premières années de sa pratique l'ont amené à travailler en collaboration avec des metteurs en scène de théâtre puis jusqu'en 2005 avec des chorégraphes contemporains. Cette année-là a constitué un tournant dans son travail, lui permettant de s'engager dans une recherche personnelle.

La Poissonnerie 360, rue d'endoume 13007 Marseille (bus 80 arrêt Bensa)

04 91 52 96 07  lundi / vendredi de 16h à 19h ou sur rdv au 06 13 14 68 35

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Les 110 ans de l'Olympique de Marseille célébrés au Palais des Arts

Du 20 février au 9 mai 2010
La fondation Regards de Provence organise une exposition retraçant les 110 ans de l'Olympique de Marseille au Palais des Arts, du 20 février au 9 mai.
Scotti, Andersson et Ben Barek, trois gloires des années 50
­Club mythique fondé par René Dufaure de Montmirail et apparu en 1899, l'Olympique de Marseille est devenu le symbole emblématique de la cité phocéenne. La fondation Regards de Provence, qui a pour ambition de rassembler, faire découvrir, et valoriser le patrimoine culturel, artistique et musical de Marseille, de la Provence et de la Méditerranée, a souhaité mettre en valeur la dimension humaine  singulière de ce club. A l'occasion du 110e anniversaire du club olympien, elle présente ainsi une exposition intitulée "L'OM. 110 ans. 110 photographies. 11 plasticiens marseillais jouent les prolongations" à partir du 20 février au Palais des Arts.

Les photographies retraceront l'histoire du club au travers de plusieurs thématiques : les joueurs mythiques (Jean-Pierre Papin et Roger Magnusson par exemple), les personnalités incontournables (31 présidents et 61 entraîneurs successifs depuis le début de l'aventure), les unes de presse mémorables dans les journaux et les magazines, mais aussi les clubs de supporters, les lieux et objets emblématiques.
La fondation a également  invité 11 plasticiens marseillais à plancher sur le thème du football : parmi eux, Piotr Klemensiewicz, Stephan Muntaner, ou encore Jean-Jacques Surian. Leurs créations (sculptures, peintures et photomontages) seront présentées en parallèle avec les photographies.


Ouvert tous les jours de 10h à 18h. (Fermeture uniquement le 1er mai )
Palais des Arts - 1 place Carli (1er)

JULIANA BEASLEY «Sète#10» - ImageSingulières 2010 à Sète

du 13 mai au 9 Juillet 2010
Juliana Beasley, en héritière d'une tradition photographique américaine (Diane Arbus-Nan Goldin…) s'intéresse aux marges. C'est à New York, dans le quartier déshérité de Rockaways, qu'elle travaille actuellement à documenter une petite communauté blanche miséreuse et oubliée. Avant cela, Lap dance, un livre publié en 2003, véritable plongée dans l'univers
du strip-tease, nous la révéla.
À Sète, Juliana est partie à la découverte d'une ville et d'une culture. À Sète, c'est le sud qu'elle à trouvé! Une aventure pour elle, périlleuse, tant le décalage est parfois immense entre la vieille Europe et l'Amérique d'aujourd'hui. Un livre, le troisième d'une collection passionnante, après Anders Petersen et Bertrand Meunier, est né de cette résidence. Un livre différent, d'où surgit une Sète faite d'intérieurs baroques et d'histoires si particulières, une autre Sète.
Musée Paul-Valéry «Hors les murs»
Salle Tarbouriech • du 13 mai au 9 Juillet
www.julianabeasley.com

JACOB HOLDT «American Pictures» - ImageSingulières 2010 à Sète

Cliquez pour agrandir l'imagedu 13 au 30 mai 2010

Jacob Holdt a 24 ans lorsqu'il décide, en 1971, de parcourir
le continent américain. Ce jeune danois, fils de pasteur,
est alors frappé par une Amérique où règnent pauvreté,
exclusion, et racisme. Choqué, il décrit cette misère dans
les lettres envoyées à ses parents qui restent incrédules.
Son père décide alors de lui envoyer un petit appareil
photographique afin qu'il puisse ajouter des « preuves »
à ses récits. C'est ainsi que commence un long périple à
travers les Etats-Unis et qui durera cinq ans.
Devenu photographe à cause de l'impérieuse exigence
du témoignage, Jacob Holdt réalisera des milliers de
clichés en couleur qu'il a rassemblé dans un livre en
forme de journal intime, «American Pictures», édité en
1978.
Presque inconnu du monde de la photographie, Jacob
Holdt est une figure du milieu militant danois. Il vit
aujourd'hui des conférences contre le racisme qu'il
donne sur la base du travail documentaire engrangé à
l'époque.
Exposition réalisée avec le soutien de l'association
GwinZegal.

Chapelle du Quartier Haut • du 13 au 30 mai
www.americapictures-pictures.com

MICHAEL ACKERMAN «Half Life» ImageSingulières 2010 à Sète

Cliquez pour agrandir l'imagedu 7 au 31 mai 2010
L'exposition «Half Life» de Michael Ackerman, aboutissement d'un travail commencé en 2001 après la publication de son livre «Fiction», proposera une sélection d'oeuvres en partie inédites, ainsi qu'une projection. Michael Ackerman s'est rendu notamment à New York, à La Havane, à Paris, Varsovie, Cracovie et Berlin où il s'est installé récemment. Mais ses photographies, fuyant les contraintes du reportage traditionnel, brouillent les frontières géographiques et définissent un
espace qui, hors de toute narration, est une pure création mentale. Servies par des lumières surréelles, des noirs profonds et un grain éclaté, ses photographies traduisent des sentiments mêlés de tendresse, d'amour, de solitude et d'inquiétude et révèlent quelque chose du fonctionnement psychique de l'artiste, de ses affects et de ses obsessions. Cette exposition est réalisée en partenariat avec Stimultania à Strasbourg et la Galerie VU'.

Centre Régional d'Art Contemporain Languedoc-Roussillon
www.galerievu.com

RAJAK OHANIAN «Portraits de PME» ImageSingulières 2010 à Sète

Cliquez pour agrandir l'imageDu 7 au 31 mai 2010
Rajak Ohanian a longtemps photographié le théâtre,
tout en menant ses propres travaux. Il réalise des
reportages entre 1958 et 1977, Les Gitans, l'Algérie,
Londres, New-York mais aussi de nombreux
portraits d'écrivains, philosophes, jazzmen, gens
de théâtre…
Accentuant son observation des contextes du travail,
de l'habitat, du monde rural, de la vie quotidienne,
la rigueur de son travail l'établit aujourd'hui comme
une des figures de proue du « document social ». Il
décide ensuite de se consacrer exclusivement à ces
projets personnels.
« Portrait d'une PME », cette série réalisée en 1999
dans une usine de textile, met en scène de façon
minimale l'ensemble du personnel d'une PME de
Lyon.
Trente-deux employés et dirigeants de la société
sont photographiés dans un dispositif qui rappelle les
premiers studios, avec un rouleau de tissu déployé
en guise de fond. Une mise en scène minimale de
ces portraits à taille presque réelle. Les regards
fixent le spectateur et traduisent et documentent
le corps social particulier et typique de l'univers du
travail que constitue une PME. Mais aussi le parti
pris de Rajak Ohanian, son intérêt pour un milieu
social, et la restitution de la dignité de la personne
représentée.
Centre Régional d'Art Contemporain Languedoc-Roussillon
http://perso.numericable.fr/vartano/index.html
www.galerievu.com

"Portraits de chefs cuisiniers à la sauce Hollandaise" par Gérard Cambon à l'ATELIER à Arles

Cliquez pour agrandir l'imageDu 3 Juillet 2010 jusqu'au 28 Août 2010.

J'ai une grande admiration pour les chefs cuisiniers. C'est un métier qui exige un engagement total, corps et âme au service d'un art non reconnu comme tel. Pour moi un chef qui refait sa carte tous les jours en fonction du marché, de la météo ou de son humeur, qui crée des harmonies gustatives en respectant les produits qu'il a sélectionné avec expérience et passion, est un véritable Artiste.

Ils sont à la croisée de deux quêtes : la maitrise technique d'un part et l‘inventivité de l'autre. Si l'on recherche dans l'histoire de l'art la période qui était le plus proche de cette double quête c'est l'Ecole Hollandaise du XVIIe siècle que l'on trouve.

Voilà pourquoi j'ai cherché à recréer cette lumière du nord si particulière et si propice au portrait. Et voilà pourquoi la série s'intitule "Portraits de chefs cuisiniers à la sauce hollandaise".

L'ATELIER de Jean-Luc RABANEL
7, rue des Carmes 13200 Arles
Site Web : http://www.ledesk.com/expochefs.html
Ouverture de 16h à 19h du Mercredi au Dimanche.



" Hors Série " du collectif  marseillais à La Poissonnerie

Cliquez pour agrandir l'imageDu 25 au 30 juin 2010

vernissage vendredi 25 juin à 18h30

HORS SERIE
Fondé en 2007 par Xavier Vanlaere le collectif  marseillais « HORS SERIE » regroupe aujourd'hui 8 photographes. 
Passionnés de photographies noir et blanc nous  travaillons au boitier 24X36 et en film argentiques.
Mais ce n'est que bien plus tard, dans l'obscurité rougeâtre et les effluves du labo que chaque photographe découvre ses images  sur le film négatif, avant d'être  retravaillées manuellement, sculptées patiemment par son auteur sous les lumières de l'agrandisseur.

Hors Série c'est :                                                                                 
Donato Biondi
Isaak Mazouz
Naceira Yezza
Siham Abdou
Sophie Delaroche
Marie Hélène Benkalifa
Nadia Tognelli
Xavier Vanlaere


Loin des images spectaculaires, à sensation ou regorgeant  d'exotisme, c'est au contraire dans l'environnement urbain  le quotidien et l'ordinaire que nous puisons notre  écriture photographique.
Au cours  de déambulations piétonnes nous posons, à nouveau, notre regard sur ce qui nous entoure ; Attentifs, réceptifs à la beauté des choses, de la lumière, à l'insolite et l'imprévu aussi.

Au travers son objectif chacun segmente, sélectionne, compose,  et nous livre au final une interprétation photographique très personnelle.
Ce sont ces fragments individuels, ces apports réciproques, faits de spécificités,  de différences et, qui à la manière d'un kaléidoscope,  se juxtapose, s'imbrique, pour produire un ensemble et donner lieu à cette  première exposition photographique.

La Poissonnerie 360, rue d'endoume 13007 Marseille (bus 80 arrêt Bensa)
04 91 52 96 07  lundi / vendredi de 16h à 19h ou sur rdv au 06 13 14 68 35 
http://lapoissonnerie.free.fr
http://www.facebook.com/lapoissonnerie


DU LOURD ET DU PIQUANT - Rencontres d'Arles 2010

Du 3 juillet au 19 septembre 2010

Les Rencontres d'Arles 2010 proposent six promenades : une argentine, une rock, une argentique, une avec les amis de la Fondation LUMA, une en forme de passage de témoin, et une autre autour des prisons françaises.

http://www.rencontres-arles.com

www.labo-gris-souris.com  pour des tirages Pro sur papier photo satin, Fine Art ,Barytés...

Depuis plus de 20 ans, notre équipe d'artisans photographes vous proposent de tirer vos plus belles photos, sur papier photo en couleurs ou en noir et blanc. Nous pouvons aussi imprimer en encres pigmentées sur toile de peintre (Canvas) et sur papiers Fine Art (Canson, Baryté, Velin...) du format 20 x 30 cm au grands formats jusqu'à 250 cm de long. Renseignements : www.labo-gris-souris.com
Vos tirages en ligne en qualité professionnelle sur papier photo satin, Fine Art ,Barytés...

Au fil de l'eau de Jorge Rivas au CAMa`YEUX

Cliquez pour agrandir l'imageDu 21/01/2010 au 29/03/2010

Au fil de l'eau réalisée de nuit au Polaroïd avec comme unique source lumineuse l'éclairage public.
Un parti pris qui donne une véritable force à l'image par la narration et par le rendu des couleurs lies à la technique utilisée.
Jorge Rivas Rivas expose régulièrement ses photographies en France et au Venezuela.
Il vit et travaille à Paris.

CAMa`YEUX Marseille (Les Tilleuls (bât. 20) 55 avenue de Valdonne 13013 Marseille )

Site:http://www.jorgerivasrivas.com

Un dimanche pas comme les autres... du collectif Café Photo Marseille au Bicok

Le collectif Café Photo Marseille (CPM) est heureux de vous annoncer sa première exposition collective, Un dimanche pas comme les autres... qui durera du 2 mars au 2 avril au Bicok (57 cours Julien - Marseille), le restaurant / café qui nous accueille pour nos cafés photos matinaux depuis maintenant 1 an. Seront exposées à cette occasion 21 photos des 7 photographes... suite sur http://cafephotomarseille.free.fr

Les Eclats du miroir - Petits contes algériens  de Françoise Saur à l'Alcazar

Cliquez pour agrandir l'imageDu 9 février au 13 mars 2010

L'exposition "Les éclats du miroir" offre un portrait saisissant de l'Algérie. Ses photographies s'inscrivent dans un rapport au territoire, marqué par une dimension humaine très forte. L'exposition est construite selon deux axes : un espace réservé aux photographies en extérieur, l'autre en intérieur, le tout complété par une série d'extraits rédigés tirés du livre.

Alcazar (13100 Marseille) 58 cours Belsunce

site:http://www.francoise-saur.com/

Prix Voies Off :: 2010

Cliquez pour agrandir l'image
photo© Mirko Martin Lauréat du Prix Voies Off 2009


L'alternative photographique
Voies Off propose depuis 15 ans un regard alternatif sur la photographie émergente, ses particularités, ses évolutions et ses résistances...
Les soirées de projections du Festival Voies Off des Rencontres d'Arles constituent une référence internationale pour la découverte des auteurs et le suivi de la création photographique.
Les thématiques du festival abordent, avec un regard critique, les évolutions du monde contemporain. Une vingtaine de nationalités sont représentées lors de chaque édition. Plus de 60 candidats sont sélectionnés pour la programmation.
Le Prix Voies Off, attribué par un jury de professionnels reconnus, récompense chaque année un artiste pour la clarté de sa vision et la qualité de son travail.
Une bourse de 2 000 euros lui est attribuée.
Construisez l'alternative photographique, participez au Prix Voies Off 2010.
www.voies-off.com
Inscription et dépôt des dossiers en ligne
Ouverture des inscriptions :: du 15 décembre 2009 au 31 janvier 2010

SAMBODROMO Photographies de Jean-Marc Vallier au Virgin Cafe 

Du 01/02/10 au 28/02/10

Un magnifique regard posé sur le défilé des écoles de Samba à Rio.

Virgin Café

75, Rue Saint Ferréol - 13006 Marseille


"Le photographiable" à L'ALCAZAR de Marseille

A partir du 28/11 L'ALCAZAR de Marseille accueillera une exposition organisée par Jean Arrouye et l'Université d'Aix intitulée "Le photographiable". Y seront présentées des oeuvres de photographes non intéressé par le figuratif dont Bernard LANTERI (série SABAS), Umhauer, Bernas, Galzin, General et Plossu.
Exposition visible jusqu'à fin décembre 2009
Un colloque est également organisé sur ce thême les 26-27 et 28 novembre à l'Amphithéâtre de la BMVR, 58 cours Belsunce, 13001 Marseille.
Renseignements : Alcazar (BMVR) 04.91.55.90.00

Photo:© B. LANTERI - (Sabas)

La biennale 14e édition, Skopje

Biennale des Jeunes Créateurs d'Europe et de la Méditerranée 14e édition, Skopje 3-12 septembre 2009 Macédoine
Au-delà des distances, il existe des moments de rencontres et de découvertes. Au-delà des réticences, il existe des dynamiques conviviales de confrontation artistique. Au-delà des hésitations, il existe un événement singulier, fédérateur et contemporain : la Biennale des Jeunes Créateurs d'Europe et de la Méditerranée.
Depuis plus de 20 ans et à l'occasion de quatorze éditions, près de dix mille artistes ont expérimenté la Méditerranée. Leur art n'est pas seulement méditerranéen, il est aussi contemporain. Leur désir est, avant tout, de montrer, de partager, de rencontrer. Avec l'espoir que la Biennale ne sera pas qu'une étape de leur vie artistique mais les stimulera et les fera évoluer dans leur réflexion créative.
Pour la première fois nous présentons la sélection française d'une seule voix à travers ce catalogue. Car, nous aussi, les différents territoires français qui participons depuis plus ou moins longtemps à cet événement, avons choisi d'unir nos énergies, nos compétences et nos complémentarités afin de promouvoir la jeune création. Ainsi, les vingt-sept productions qui représenteront la France à Skopje pour cette 14e édition sont réunies dans ces pages, avant d'être montrées à Montpellier, en Macédoine et enfin à Marseille en 2010.

Fabrice d'Alessandro

©Fabrice d'Alessandro - Série « Out of nowhere » 3 tirages numériques sur support trévira - 100x100 cm - 2007

Né en 1978
Il a arpenté l'Asie pendant six mois. Chine, Thaïlande, Mongolie, Vietnam, Malaisie... Noctambule attiré par les mégalopoles, les lieux névralgiques, les boîtes futuristes, les endroits sordides, il a d'abord « shooté » les villes la nuit. Mais pas en pleine agitation. Cherchant plutôt l'accalmie entre deux moments d'effervescence, les points morts d'une fureur urbaine qui s'est endormie et ne s'est pas encore levée. Entre 4 h et 6 h du matin. Pour saisir les vides et mieux faire ressortir un sentiment de solitude malgré la densité des populations. Il a ensuite traversé un passage à blanc où l'image est un vide saturé de brume et de neige, un écran de fumée. Puis a ouvert en 2006 sans l'avoir encore refermée, la série Out of nowhere dont sont issues ces trois photographies. Plus de nuit, mais un jour vif et des couleurs piquées. Toujours du vide, et de l'épure graphique. Des paysages, des lignes et pas d'humains. Des jeux d'ambiance. Des photos sans contexte laisséesà l'imaginaire. Un calme et un ordre trop beaux pour ne pas être inquiétants. La scène en devient irréelle et étrange. C'est « un potentiel théâtre du crime » dit-il. Un interstice d'où pourrait surgir la pulsion. Peut-être pour contrarier le fait qu'il prémédite ses clichés et ne se voit pas comme photographe de l'instant. Cette série est tirée sur du tissu polyester selon un mode d'impression appelé « sublimation ». Décorateur de métier, créant surtout dans le domaine de l'installation avant d'en venir à la photo, il a découvert ce procédé d'impression en travaillant sur la scénographie des meetings de Ségolène Royal pendant sa campagne présidentielle. Art et politique, qui s'imprime sur qui ?
               
Formation
2004 : Diplôme national supérieur d'expressions plastiques [avec mention] à l'école de Dijon.

Expositions
2008 : Exposition collective Arts amis à Saint- Brisson-sur-Loire.
Exposition personnelle Checkpoint à Dijon

Driss Aroussi

Cliquez pour agrandir l'image
« Leslie » Sténopé numérique - 40x60 cm - 2008 © Driss Aroussi

Né en 1979 à Ksar Ouled Ghamen Fezna Jorf [Maroc]
À travers un petit interstice de la taille d'une tête d'aiguille la lumière se glisse lentement jusqu'au capteur sensible, puis l'image se fixe. Le temps est long, l'immobilité est de rigueur pour le sujet, car hors de cette temporalité les formes mobiles deviennent fantomatiques. Le sténopé numérique qui résulte de cette hybridation [de cette amputation de l'optique] est marqué dans sa chair par de multiples stigmates qui lui donnent un aspect voisin du mouvement pictorialiste photographique.
« L'omniprésence du flou est pour moi un appel à la poésie des mots, des formes et des couleurs. Les images vacillent entre tension et relâchement, des grains de poussière et autres matériaux contenus dans l'air viennent eux aussi s'immiscer dans le cadre de l'image pour plus de texture. Ces expérimentations, qui n'en sont plus vraiment, sont des espaces de questionnement autour de la mécanique de captation du visible. Ce qui m'a intéressé dans un premier temps, c'est de voir comment réagirait l'appareil capteur-enregistreur dans des modes qui nous renvoient aux prémisses de la photographie, c'est à dire une boîte avec un trou et un support sensible ».
Après les premières prises de vue est venu le temps de la contemplation et de l'interrogation sur ces sténopés. Ceux-ci, dans leurs aspects, évoquent sans doute, comme précédemment dit, le pictorialisme que l'on retrouve dans la photographie ainsi que dans la peinture. Ces images se veulent dans une relation au visible dénué d'un code restrictif, tout y est possible, elles s'inscrivent dans un mouvement alternatif de la photographie contemporaine qui se nomme « Foto Povera ».

Formation
2007 : DNSEP à l'Ecole Supérieure d'Art, Aix-en- Provence [félicitations du jury].

Expériences
2008-2009 : participation au groupe de travail Confrontation[s] organisé par Vol de Nuits à Marseille.
2008 : Festival d'Image Artistique Vidéo à Alger / Salon Lineart de Gant Men Art - Selection à Gant, Belgique.

Marjorie Brune

Née en 1985 à Paris

À travers un petit interstice de la taille d'une tête d'aiguille la lumière se glisse lentement jusqu'au capteur sensible, puis l'image se fixe. Le temps est long, l'immobilité est de rigueur pour le sujet, car hors de cette temporalité les formes mobiles deviennent fantomatiques. Le sténopé numérique qui résulte de cette hybridation [de cette amputation de l'optique] est marqué dans sa chair par de multiples stigmates qui lui donnent un aspect voisin du mouvement pictorialiste photographique.
« L'omniprésence du flou est pour moi un appel à la poésie des mots, des formes et des couleurs. Les images vacillent entre tension et relâchement, des grains de poussière et autres matériaux contenus dans l'air viennent eux aussi s'immiscer dans le cadre de l'image pour plus de texture. Ces expérimentations, qui n'en sont plus vraiment, sont des espaces de questionnement autour de la mécanique de captation du visible. Ce qui m'a intéressé dans un premier temps, c'est de voir comment réagirait l'appareil capteur-enregistreur dans des modes qui nous renvoient aux prémisses de la photographie, c'est à dire une boîte avec un trou et un support sensible ».
Après les premières prises de vue est venu le temps de la contemplation et de l'interrogation sur ces sténopés. Ceux-ci, dans leurs aspects, évoquent sans doute, comme précédemment dit, le pictorialisme que l'on retrouve dans la photographie ainsi que dans la peinture. Ces images se veulent dans une relation au visible dénué d'un code restrictif, tout y est possible, elles s'inscrivent dans un mouvement alternatif de la photographie contemporaine qui se nomme « Foto Povera ».
               
Formation
2008-2009 : DNSEP à l'Ecole Supérieure d'Art d'Aix-en-Provence.
Sept 2007-Jan 2008 : Art institute at Bournemouth, UK, Echange Erasmus en photographie et en cinéma.
Juin 2007, DNAP.

Expériences
Juin 2009 : Scénographie du spectacle « Orphée» pour le Festival d'Art Lyrique, Aix-en-Provence
2008 : Exposition Greenwashing, manifestation sur le blanchiment écologique ou l'envers de la pub Tire la chasse!, sculpture numérique à Marseille.

Alexandre Girou

©Alexandre Giroux - « X-Ville » Photographies de bâtiments d'entraînement de l'Ecole nationale de police 5 tirages numériques sur support métallique - 30x40 cm chacun - 2008

Né en 1981

Une ville fantôme à l'architecture sommaire, avec son école, sa banque, sa poste. Pas un lieu de vie mais un espace factice sans habitants réduit à sa fonction utilitaire. La ville qu'Alexandre Giroux met en scène sur sa série photographique est le terrain d'exercice grandeur nature de l'école de Police de Nîmes. De cet endroit insolite et inerte, sauf quand des interventions surviennent, il restitue une vision froide et documentaire. Etudiant, il était « pion » dans un internat nîmois. Quand son établissement en travaux déménage pour un temps dans l'enceinte de l'école de police, il passe ses nuits dans cette étrange ville éteinte. Après avoir obtenu les autorisations idoines [avec difficulté], il revient sur les lieux, pour les photographier de jour.
La seconde oeuvre présentée est une copie conforme du journal Le Monde. Il a conçu une table lumineuse et transparente pour pouvoir reproduire à l'identique et à la main, chacune des pages de l'édition du 19 septembre 2006 : articles, photos, ours, code-barres, publicité... Ce travail porte cet exemplaire voué à l'éphémère d'un jour au rang d'oeuvre, l'inclinantà exister dans la durée et à être unique. Une copie qui pourrait passer inaperçue tant l'imitation, rigoureuse mais pourtant imparfaite au regard d'une impression mécanique, ressembleà une édition spéciale. Ce geste minutieux et fastidieux, cette délicate et laborieuse entreprise dont la réalisation a nécessité deux mois de travail, relèvent presque d'un geste méditatif. Cette complexité d'élaboration met en exergue l'une des constituantes de son parcours : avant d'intégrer les Beaux-Arts, Alexandre Giroux avait obtenu un BEP Menuiserie.

Formation
2005 : DNSEP à l'Ecole Supérieure des Beaux- Arts de Nîmes.

Expositions
2007 : Exposition personnelle Comedy relief au Carré d'Art, musée d'art contemporain de Nîmes.
2004 : Exposition collective, Moi et les autres dans la cour des grands au FRAC LR
Déjà vu, vidéos d'étudiants choisies par Paul Ardenne - Carré d'Art de Nîmes
Exposition collective, C'est beau la vie.

Aurore Valad

©Aurore Valade - « Dauphin PVC » - Série « Le temps de l'été » - 100x83 cm - tirage light jet marouflé sur aluminium, encadré caisse américaine - 2007

Née en 1981 à Villeneuve-sur-Lot

Si mes photos sont ambiguës, c'est qu'il est difficile d'y déceler la part de réel et de fiction. Et c'est très bien comme ça ». Ainsi parle Aurore Valade de son travail. Sa perspective n'est pourtant pas mystérieuse : elle explique volontiers sa méthodologie, ses goûts, ses inclinaisons. Le propos général ? La mise en scène d'un réel tendant à une théâtralisation de la vie quotidienne. D'où la dimension sociologique et anthropologique de ses compositions. Car si chaque détail est pensé, si les retouches post prises sont nombreuses, les modèles sont photographiés chez eux [leur recherche peut prendre des semaines], ce sont leurs objets personnels qui sont utilisés, Aurore Valade se contentant éventuellement de leur demander de « rejouer cette pose ». Travaillant à la chambre photographique, elle prend peu de clichés, la construction scénique restant primordiale. Puis vient le temps de la prise de distance, essentielle chez elle. Le résultat donne des « images denses et complexes, qui posent des questions plutôt que de donner des réponses ». Comme dans la série qu'elle présente ici, réalisée pendant sa résidence au Musée d'art moderne de Collioure et issue d'Intérieurs avec Figures. Une composition baroque dans la disposition des corps, des couleurs flashy lorgnant sur le pop art - référence à son penchant pour la culture de masse - le tout illustrant des ambiances de vacances paradoxalement confinées puisqu'elles évoquent « la promesse d'un extérieur ». Et si ces Intérieurs avec Figures lui ont permis de remporter le prestigieux prix de la Fondation HSBC pour la photographie en 2008, elle est d'autant plus enthousiaste de participer à la Biennale et à son bouillonnement artistique. Et ça, ce n'est pas un paradoxe ; plutôt une prise de distance.

Formation
2005 : Diplôme de l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles
2001 : DNAP Beaux-Arts de Bordeaux

Expositions
2009 : Exposition collective Identités de femmes à la galerie d'art du Conseil Général 13 à Aix-en- Provence
Exposition collective Curious Memories à ICP à New York - USA.
2008 : Exposition au Musée d'art moderne de Collioure
Festival Les Photaumnales à Beauvais
Exposition à la Gas Art Gallery à Turin – Italie. Prix - Lauréate de la Fondation HSBC pour la photographie
Exposition itinérante des Lauréatsà Bordeaux, Nice, Paris et New York.

Publication
2009 : Monographie Grand miroir, Actes Sud.

Site internet : www.aurore-valade.com

Le 36e Festival mondial de l'image sous-marine

Le 36e Festival mondial de l'image sous-marine se déroulera du jeudi 29 octobre au dimanche 1er novembre 2009 dans le cadre exceptionnel du Palais du Pharo à Marseille.

Ce site, à l'entrée maritime de la ville de Marseille, offre 1800 mètres carré de surface d'exposition, un amphithéâtre de 900 places et deux salles de projection.

Profondément ancrée dans l'histoire de la plongée et dotée d'un patrimoine sous-marin exceptionnel, la ville de Marseille est une ville d'accueil légitime pour notre manifestation. Les facilités d'accès (TGV, aéroport...) et d'hébergement de la cité phocéenne sont également des atouts pour faire de cette édition 2009 du Festival une pleine réussite.

Toute l'équipe du Festival et du Spondyle Club, avec Daniel Mercier et Philippe Vallette, vous attend pour cette 36e édition.

Renseignements: http://www.underwater-festival.com/

Les Rencontres d'Arles 2009

40e édition
40 ans de rencontres
40 ans de ruptures
Semaine d'ouverture du 7 au 12 juillet
Expositions jusqu'au 13 septembre 2009

Pour la quarantième fois, le monde de la photographie a rendez-vous avec Arles. Le mot de « Rencontres »
prend pleinement son sens lors de ce festival. Rencontres entre industrie et culture, entre art et économie.
Rencontres entre une cité, son patrimoine, ses habitants et des artistes, des spectateurs, des professionnels
venus du monde entier. Quarante ans, c'est un bel anniversaire. Au cours du temps, la photographie a changé
notre regard sur la société et sur le monde. C'est l'essentiel.
À Tokyo ou à New York, le nom d'Arles est associé à la photographie. La volonté de Lucien Clergue, du
conservateur Jean-Maurice Rouquette et de l'écrivain Michel Tournier de faire reconnaître la photographie
comme un art, a créé une histoire commune. La ville elle-même a été le sujet ou la source d'inspiration de
nombreux photographes. Le projet du Parc des Ateliers de l'architecte Frank Gehry, porté par la Fondation
LUMA, fera d'Arles la capitale mondiale de la photographie.
Cette 40ème édition des Rencontres est l'occasion de mesurer le chemin parcouru, de revivre des moments de
grâce et d'imaginer le futur. Des artistes aussi différents que Willy Ronis, Nan Goldin, Duane Michals ou Martin
Parr incarnent la vitalité de cet art et l'ambition permanente des Rencontres. Cette ambition se conjugue avec le
succès public et un nombre de visiteurs chaque année plus nombreux.
Arles a joué son rôle dans le choix de Marseille Provence comme capitale européenne de la culture en 2013. Les
Rencontres et leurs représentants ont largement contribué à convaincre le jury. La 40ème édition sera aussi
l'occasion de démontrer le potentiel d'Arles dans la perspective de cet événement européen.
Je souhaite ici rendre hommage aux partenaires privés et publics qui soutiennent ces Rencontres notamment le
Prix SFR, la Fondation LUMA de Maja Hoffmann, la FNAC, Olympus, la Fondation d'entreprise Hermès, Pictet,
Citroën, la Fondation France Télévision et, bien sûr, le ministère de la Culture, le Conseil régional Provence-
Alpes-Côte d'Azur et le Conseil général des Bouches-du-Rhône. Je remercie également toute l'équipe des
Rencontres réunie autour de François Barré, le président, et du directeur François Hébel.
Au nom de tous les Arlésiens, je souhaite aux festivaliers des Rencontres une édition 2009 riche de bonheurs
multiples...
Hervé Schiavetti, Maire d'Arles, Vice-président du Conseil général des Bouches-du-Rhône.

http://www.rencontres-arles.com

Photoespana 2009

Photoespana 2009, 248 artistes et créateurs de 40 nationalité

PHotoEspana 2009 organisera 72 expositions dans une édition marquée par sa diffusion et sa projection internationale ainsi que par l'élargissement de ses programmes pédagogiques, professionnels et ceux destinés a tous les publics.
PHE09 accueillera entre le 3 juin et le 26 juillet 72 expositions dont 31 appartiendront a la Section Officielle, composées des oeuvres de 248 artistes et créateurs de 40 nationalités.

10 éme Festival Internacional de Fotografía y Artes Visuales
Madrid
Espagne
http://www.phedigital.com/ 
 
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mercredi 25 mai 2011

Baudelaire disait du
photographe de rue
 


« Sa passion et sa profession, c'est d'épouser la foule. Pour le parfait flâneur, pour l'observateur passionné, c'est une immense jouissance que d'élire domicile dans le nombre, dans l'ondoyant, dans le mouvement, dans le fugitif et l'infini. Être hors de chez soi, et pourtant se sentir partout chez soi ; voir le monde, être au centre du monde et rester caché au monde »


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